• Des chirurgiens chinois qui opéraient une petite fille souffrant de problèmes respiratoires inexplicables ont eu l'immense surprise de trouver de l'herbe poussant dans ses poumons.
    Les médecins ont d'abord cru que la petite fille de 10 mois souffrait d'une pneumonie, mais son état est allé en empirant.

    "Nous avons alors amené notre fille dans un grand hôpital de la capital de l'Etat, Zhengzhou", témoigne son père, interrogé par le quotidien chinois Dahe Daily.
    Les médecins de cet hôpital universitaire ont ont diagnostiqué un pneumotorax, une rare complication de la pneumonie. Mais l'état de la fillette a continué à se dégrader.
    En désespoir de cause, les médecins ont pris la décision d'opérer la fillette pour examiner ses poumons.

    "Nous avons eu l'incroyable surprise de trouver de l'herbe haute de 3 cm poussant dans le poumon droit de l'enfant", témoigne le chirurgien-chef, Li Qun.
    Les médecins ont retiré l'herbe, et l'état de la fillette s'améliore de jour en jour. Les parents disent que l'herbe retrouvée dans le poumon de leur enfant est identique à celle qui pousse dans leur jardin.
    D'après les médecins, la fillette aurait inspiré des graines par le nez. Celles-ci seraient parvenues au poumon via son système respiratoire.

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  • Revues d'horreur des people, le tout en images...

    Regalez-vous, c'est parti






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  • Un Congolais de 30 ans soupçonné d'avoir écrasé du piment sur le sexe de sa compagne pour soi-disant éloigner les mauvais esprits a été condamné par le tribunal correctionnel du Havre (Seine-Maritime) à huit mois de prison ferme.

    L'homme qui comparaissait dans le cadre de la comparution immédiate a expliqué à la barre que, dans son pays, apposer du piment sur le clitoris de sa compagne favorise une vie sexuelle épanouie.

    La justice à quant à elle assimilé cet acte à une torture compte tenu de la violente douleur causée à la victime et de la brûlure qui en a résulté.

    L'auteur présumé des faits qui réside en France depuis plus de vingt ans a été condamné à 18 mois de prison dont dix avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans. Il a été écroué au Havre.

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  • Le site Internet du Midi Libre publie un article au sujet de Julien Doré, le gagnant de la dernière saison de La Nouvelle Star sur M6.
    Alors qu’il vient de sortir son premier titre "Moi … Lolita", une reprise de la chanson de Alizée, les Assedic lui réclameraient 3 000 €…
    En effet, l'administration lui reprocherait "de ne pas avoir signalé son absence de sa résidence habituelle (NDLR à Nîmes) depuis plus de sept jours" alors qu’il était à Paris pour "La Nouvelle Star". Lorsqu’un chômeur n’effectue pas ce changement d’adresse, il est rayé des listes et perd son statut et ses droits.

    De plus, l'Inspection du travail, dans un courrier du 15 juin dernier, aurait expliqué au jeune artiste "vous n'avez pas signalé dans les délais légaux (72 heures) auprès des services Assedic du Gard votre indisponibilité à la recherche d'un emploi compte tenu de votre sélection à l'émission "Nouvelle Star" diffusée sur M6 en mars 2007".

    Ces deux raisons justifieraient la demande des Assedic…
    L'avocat de Julien Doré, Me Pierry Fumanal, a estimé qu’il avait "parfaitement le droit de participer à l'émission qui n'était pas rémunérée. Ce programme est un jeu, en aucun cas un travail. En définitif, La Nouvelle Star, pour Julien, c'était une formation. Et s'il est vrai qu'il a gagné quelque chose à la fin, il n'a perçu aucun salaire pendant les émissions. J'ajoute qu'il faisait régulièrement des allers-retours entre Nîmes et Paris et qu'il n'allait pas changer d'adresse pour cela".

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  • Trois touristes norvégiens qui avaient réservé un séjour sur l'île grecque de Rhodes ont eu la désagréable surprise d'atterrir, lundi, sur l'aéroport de Rodez, au coeur de l'Aveyron.

    En réservant sur internet, ces trois touristes, deux femmes, Bente et Marit, accompagnées de Knut, mari de l'une d'elles, avaient commis une erreur d'orthographe en réservant leur voyage, confondant le "s" de Rhodes avec le "z" de Rodez, l'ordinateur et la compagnie aérienne Ryannair ayant d'eux-mêmes, ensuite, ôté le "h" de l'île de Rhodes avant de valider cette réservation.

    "Nous avons été alertés de cette bourde à l'arrivée de ces trois touristes à l'aéroport et avons tenté de rendre leur séjour agréable avant qu'ils ne décident de repartir en Norvège via Toulouse", a expliqué à Reuters Florence Taillefer, directrice de l'Office de tourisme de Rodez.




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