• Libération, qui veut tourner la page d'un journal parfois "anxiogène", lance le 15 octobre une nouvelle formule pour "redonner le goût de l'avenir" à ses lecteurs et "mieux affirmer ses choix", a annoncé jeudi son directeur Laurent Joffrin lors d'une conférence de presse.

    "Nous trouvions le journal anxiogène, toujours tourné vers le côté sombre des choses", une idée "contraire au projet original de Libération", a expliqué M. Joffrin, qui a pris les rênes du journal fin 2006 à la suite d'une grave crise financière.

    "Nous voulons faire un journal qui diffuse non pas de l'angoisse mais de l'énergie, qui redonne le goût de l'avenir, qui soit un laboratoire de l'avenir", a-t-il expliqué.

    Le format, le célèbre losange rouge, la Une articulée autour d'une grande photo et la pagination restent inchangés et le lecteur continuera de retrouver ses grands rendez-vous, comme les pages Evénement, Rebonds ou Portrait.

    Mais le déroulé du journal a été profondément remanié pour "affirmer davantage nos choix" et refléter la "variété" de l'actualité, a expliqué la responsable du projet Marie Guichoux.

    Le nouveau Libé sera construit autour de trois parties : les dix premières pages seront consacrées aux choix éditoriaux de Libération, qui seront suivis du reste de l'actualité développée sur 14 pages puis d'une partie consacrée à des sujets plus magazine, aux idées, à la culture.

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  • Dans un communiqué, le quotidien gratuit Metro annonce ses résultats du premier semestre 2007.

    Avec une distribution quotidienne moyenne de 777 582 exemplaires, Metro devient le leader de la presse gratuite, devançant pour la première fois son principal concurrent, 20 Minutes, de plus de 24 000 exemplaires.

    Par rapport au premier semestre de 2006, la mise en distribution du gratuit a augmenté de 14,9 %.

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  • Trois grands journaux concurrents japonais, le Yomiuri Shimbun, l'Asahi Shimbun et le Nikkei, ont annoncé un accord pour mettre en commun des articles sur un site internet, et pour distribuer conjointement leurs exemplaires dans les régions reculées de l'archipel.


    "Nous voulons accroître l'influence des journaux sur internet", a expliqué lors d'une conférence de presse le président de l'Asahi Shimbun Kotaro Akiyama, selon qui le projet vise à attirer le lectorat jeune vers les éditions papier.

    "Le but principal est d'aider les lecteurs à se rendre compte du rôle des journaux dans les médias internet", a déclaré pour sa part le président du Nikkei, Ryoki Sugita, selon qui "avec ce nouveau projet, nous espérons que les lecteurs sur internet deviendront aussi des lecteurs de journaux".

    Les trois géants de la presse japonaise ont également conclu un accord de coopération entre leurs réseaux de distribution en province.
    Le Japon est l'un des rares pays développés où la circulation des journaux n'est pas en déclin. Cela est dû en partie à l'efficacité des réseaux de distribution à domicile, qui assure aux titres un lectorat stable.

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  • Le quotidien gratuit Metro propose à compter du 4 octobre une nouvelle rubrique "Immobilier" en partenariat avec annoncesjaunes.fr, le site de petites annonces de PagesJaunes.

    Tous les jeudis, Metro décryptera l'offre immobilière région par région sur une double page comprenant une section éditoriale et une section de petites annonces.

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  • Le Portugal va militer la semaine prochaine pour l'extension à toute l'Europe du dispositif français "Alerte enlèvement" pour les disparitions de mineurs.

    Le Portugal, qui assure la présidence tournante de l'Union, va demander aux ministres européens de la Justice et des Affaires intérieures, qui se réunissent lundi et mardi à Lisbonne, s'ils sont d'accord pour étendre à tout le bloc ce dispositif qui consiste à diffuser un message d'alerte sur les grands médias, les gares SNCF et RATP et les panneaux d'information des autoroutes.

    "Dans une Europe sans frontière (...) lorsqu'un enfant a disparu en France, il ne se trouve peut-être plus en France, mais peut-être en Allemagne ou dans un autre pays européen", explique un responsable de la présidence portugaise. "L'alerte pourrait également être donnée en Finlande, en Espagne, au Portugal (...)", a-t-il ajouté.

    Ce responsable a déclaré que si les ministres donnaient leur feu vert à Lisbonne, des experts pourraient commencer à travailler à sa mise en oeuvre. Mais il a ajouté ne pas être en mesure de dire à quelle date il pourrait être opérationnel.

    (source : morandini)

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